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Paroles de chansons françaises
(suivies de commentaires)




C
Camérone
(Jean-Pax Méfret)



Garçon, si par hasard sur ton livre d'histoire
Tu tombe sur ce nom :
Camérone !
Garçon, regarde bien cette page d'histoire
Et n'oublies pas ce nom :
Camérone !


Le ciel de feu du Mexique
A jamais se souviendra
De ce combat héroïque
Dans les murs de l'acienda.
Dans ce décor gigantesque,
La terre se désaltérait
Du sang qui courrait, dantesque,
Sur la prairie qui brûlait.

A Camérone ! (bis)


Garçon, sur le chemin qui conduit à la gloire
Tu dois trouver ce nom:
Camérone !
Garçon, si ton destin exige une victoire
N'oublies jamais ce nom:
Camérone !


Pour l'honneur de la légion,
Sachant qu'ils allaient mourir
Jusqu'au bout de leur mission,
Fiers de tomber pour l'empire.


Ils étaient 62, face à 2000 cavaliers
Le soleil baissa les yeux lorsqu'ils furent exterminés

A Camérone ! (bis)


Ce nom qui sonne et qui résonne,
Ce nom qui tonne et qui t'étonne…

Camérone !


Commentaire :

Le commentaire relatera seulement la bataille si connue, soutenue par la Légion étrangère face aux méxicains.


Précédents de la bataille
    En 1863, pendant l'expédition française au Mexique, l'armée française assiège Puebla. Le 29 avril 1863, un convoi français part du port de Veracruz, chargé de vivres, matériel de siège et de 3 millions de francs en numéraire.
    Le colonel Jeanningros, commandant le Régiment étranger, ayant eu des renseignements concernant l'attaque probable du convoi, décide d'envoyer la 3e compagnie explorer les abords de Palo Verde avant l'arrivée du convoi.
    Soixante-deux fantassins et trois officiers de la 3e compagnie du Régiment étranger de la Légion étrangère sont donc envoyés à la rencontre du convoi, à l'aube du 30 avril.
    La compagnie n'ayant pas d'officier disponible (ceux-ci étant atteints par le « vomito negro », la fièvre jaune, comme nombre de membres du corps expéditionnaire), le capitaine Jean Danjou, adjudant-major du régiment, se porte volontaire pour la commander. Le sous-lieutenant Jean Vilain, payeur par interim du régiment, et le sous-lieutenant Clément Maudet, porte-drapeau, demandent à l'accompagner.
    Le colonel mexicain Milan, qui commande 1200 fantassins et 800 cavaliers mexicains, averti de leur passage, met ses troupes en branle.


Déroulement
    Partie de Chiquihuite vers une heure du matin, la compagnie passe devant le poste de Paso del Macho (Le Pas du mulet), commandé par le capitaine Saussier1 et poursuit sa route. Après avoir dépassé le groupe de maisons appelé Camarón de Tejeda (55 km à l'ouest de Veracruz), elle arrive à Palo Verde vers sept heures du matin, après avoir parcouru en marche forcée les vingt-quatre kilomètres qui les séparent de leur garnison de départ. Les légionnaires s'arrêtent pour faire le café.
    C'est alors qu'ils repèrent les Mexicains. Le capitaine Danjou décide de se replier sur le village. À peine sont-ils arrivés sur les lieux qu'un coup de feu claque, blessant un légionnaire. La colonne dépasse alors le groupe de maisons. C'est à ce moment que les cavaliers du colonel Milan chargent la troupe qui est contrainte de former le carré. La première salve brise la charge et met en fuite les Mexicains.
    Après avoir brisé une seconde charge de cavalerie, le capitaine Danjou et ses hommes se réfugient dans l'hacienda, espérant retarder au maximum la tentative de prise du convoi du colonel Milan. Malheureusement, au cours du repli, les deux mules qui transportent les vivres et les munitions, effrayées par le bruit, échappent à leur contrôle et s'enfuient.
    Une fois dans l'hacienda, les légionnaires s'empressent de barricader l'enceinte du mieux qu'ils le peuvent. Les Mexicains mettent pieds dans les pièces du rez-de-chaussée et interdisent, dès lors, l'accès à l'étage. Le sergent Morzycki est sur le toit du bâtiment principal pour observer les mouvements de l'ennemi.
    Il est déjà dix heures du matin et les hommes du capitaine Danjou, qui n'ont rien mangé depuis la veille commencent à souffrir de la soif et de la chaleur. Un officier mexicain, le capitaine Ramon Laisné somme les Français de se rendre, ce à quoi le capitaine Danjou fait répondre : « Nous avons des cartouches et ne nous rendrons pas ! ». Il fait alors jurer à ses hommes de lutter jusqu'au bout.
    Les Mexicains mettent le feu à l'hacienda mais n'osent pas donner l'assaut de manière frontale. Certains, depuis les chambres de l'étage tentent de pénétrer dans la pièce tenue par les légionnaires. Le capitaine Danjou est frappé d'une balle en plein cœur à la mi-journée et c'est au sous-lieutenant Jean Vilain que revient le commandement. Les Mexicains sont alors les seuls maîtres du corps de ferme.
    Vers quatorze heures, c'est au tour du sous-lieutenant Jean Vilain de tomber, frappé en plein front. Le sous-lieutenant Maudet prend alors le commandement.
    À 17 heures, autour du sous-lieutenant Maudet, il ne reste plus que douze hommes en état de combattre. C'est à ce moment-là que le colonel mexicain rassemble ses hommes et leur dit de quelle honte ils vont se couvrir s’ils n’arrivent pas à abattre cette poignée de braves.
    Neuf heures durant, les légionnaires vont affronter les troupes mexicaines sans boire, accablés par la chaleur des Hautes-Plaines, étouffés par la fumée des incendies. En fin d'après-midi, il ne reste en état de combattre que le sous-lieutenant Maudet, le caporal Maine, les légionnaires Catteau, Wensel, Constantin et Leonhard. Au signal de l'officier, ils déchargent leurs fusils et chargent à la baïonnette. Victor Catteau, légionnaire Belge, meurt, criblé de balles en protégeant le sous-lieutenant de son corps ; celui-ci est lui-même blessé à deux reprises. Un officier mexicain, d'origine française, somme alors les survivants de se rendre. Maine répond :
    « Nous nous rendrons si vous nous faites la promesse la plus formelle de relever et de soigner notre sous-lieutenant et tous nos camarades atteints, comme lui, de blessures ; si vous nous promettez de nous laisser notre fourniment et nos armes. Enfin, nous nous rendrons, si vous vous engagez à dire à qui voudra l'entendre que, jusqu'au bout, nous avons fait notre devoir. »
    « On ne refuse rien à des hommes comme vous », répondit alors l'officier mexicain. Il ajoute ensuite : « Mais parlez-moi en français. Mes hommes pourraient croire que vous êtes des Espagnols du parti conservateur, et ils vous massacreraient. »
    Les rescapés sont présentés au colonel Milan, qui s'écrie : « Pero no son hombres, son demonios ». (Mais ce ne sont pas des hommes ce sont des démons).
    Lorsque les renforts arrivent sur les lieux, dans les ruines calcinées, il ne reste que les cadavres français et mexicains. Aux alentours, le tambour de la compagnie (Casimir Laï, de nationalité italienne, et né à Cagliari en Sardaigne), seul rescapé libre, est retrouvé par un éclaireur de la colonne de secours. Laissé pour mort sur le terrain (il avait été blessé de sept coups de lance et de deux balles), il avait été dépouillé de ses vêtements, jeté dans le fossé bordant la route avant d’être mis en fosse commune. Sa volonté de vivre hors du commun lui permit de faire plusieurs kilomètres en direction de Chiquihuite dans les broussailles. Il raconta la bataille et ses explications servirent au premier compte-rendu de la bataille. Il fut ensuite décoré de la croix de chevalier de la Légion d’honneur, le 14 août 1863.

(source : wikipedia.org)


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Musique
[en construction]

Le bienfait de la musique classique
Les variétés
Le danger de la musique contemporaine


Quelques chansons
(sans audio)


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A
Accroche un ruban (Sacha Distel)
Allez savoir pourquoi (Les compagnons de la chanson)
Au temps de Pierrot et Colombine (Les compagnons de la chanson)

B
Bella Bimba (Dean Martin)

C
Ce bonheur-là (Les compagnons de la chanson)
Chouans (Jean-Pax Méfret)

D
Doux c'est doux (Les compagnons de la chanson)

F
Faut naître à Monaco (Joe Dassin)

G

Guerres de Vendée (Jean-Pax Méfret)

J
Je reviens chez nous (Les compagnons de la chanson)

K
Kolwezi (Jean-Pax Méfret)

L
La bonne humeur (Sacha Distel)
La Costa Brava (Les compagnons de la chanson)
La gymnastique (Les compagnons de la chanson)
Le bleu de l'été (Les compagnons de la chanson)
Le chant de Mallory (Les compagnons de la chanson)
Le marchand de bonheur (Les compagnons de la chanson)
La mouche
(Les compagnons de la chanson)
Le pays qui n'existe plus (Jean-Pax Méfret)
Les comédiens (Les compagnons de la chanson)
Les chemises de l'Archiduchesse
(Ray Ventura)

M
Ma musique (Joe Dassin)
Mort à Encenis (Didier Barbelivien) (à faire)
My bonnie Lassie (Ames brothers)


N
Nick nack padi wack (Les compagnons de la chanson)

No way out (Phil Collins)

P
Professeur Mûller (Jean-Pax Méfret)
Pussy cat (Ames brothers)

R

Red River Rose (Ames brothers)
Roméo
(Les compagnons de la chanson)

S
Si tous les gars du monde (Les compagnons de la chanson)
Si tu vas à Rio (Les compagnons de la chanson)

T
Tammy (Ames brothers)
The man with the banjo (Ames brothers)
Tom Dooley (Les compagnons de la chanson)

U
Un Mexicain (Les compagnons de la chanson)

V
Verte campagne (Les compagnons de la chanson)
Vive Henri IV !

W
White is white (Michel Delpech)